Des cris et deux coups de feu se font entendre dans une chambre annexe au laboratoire du pavillon du château où dort la belle Mathilde, fille du célèbre professeur Stangerson. Tout de suite, son père accompagné de l’un de ses domestiques, le père Jacques, se précipite à la porte qu’il trouve close. Très vite rejoints par le concierge de château du Glandier et son épouse, ils parviennent à enfoncer la porte.
Une fois dans la « chambre jaune », ils découvrent Mathilde, à moitié morte, allongée sur le sol et pleine de sang. Le criminel a filé. Pourtant, la porte est prise d’assaut par quatre personnes et l’unique fenêtre grillagée de la pièce est verrouillée avec ses volets clos qu’on ne peut fermer que de l’intérieur. Aucune fuite n’est possible ! Renseigné, le jeune Rouletabille (surnom qu’on lui a collé à cause de sa tête ronde), reporter au journal L'Époque, décide de se rendre sur le lieu du crime, accompagné de son ami l’avocat Sainclair, afin de retrouver la trace du malfaiteur et d’élucider le mystère.
Sur les lieux du crime, ils retrouvent la police qui mène l’enquête à l’aide du redoutable commissaire Frédéric Larsan, revenu exprès d’Espagne pour cette affaire. Pour celui-ci, l’affaire ne fait guère de doute, l’agresseur de Mathilde Stangerson ne peut être que son fiancé, Robert Darzac. Mais Rouletabille, avec son esprit déductif raisonnant par le « bon bout de la raison », s’oppose à l’avis de M. Larsan et se lance dans sa propre enquête…
Au fil de l’enquête, Rouletabille découvre que le meurtre n’était pas le seul motif de l’assassin : les travaux scientifiques de M.Stangerson ont disparu. Par ailleurs, Rouletabille remarque que le comportement du commissaire est étrange. Il utilise depuis quelques jours une canne qui lui aurait été offerte à Londres. En examinant la canne, le reporter remarque qu’elle provient de Paris. Mais ce serait un homme ressemblant à Robert Darzac qui serait venu l’acheter. Tout semble accuser Robert Darzac !
D’autres indices semblent mener sur la piste de R. Darzac, mais lorsque l’on tente à nouveau d’assassiner Melle Stangerson, le garde appelé « l’homme vert » est tué par M. Bernier le concierge. Mais on découvre que l’homme était déjà blessé avant qu’on lui tire dessus. On pense que c’est lui le meurtrier, mais Rouletabille prouve qu’il ne l’est pas. Le mystère reste complet. R. Darzac est tout de même arrêté malgré le fait qu’il était absent le jour même du crime. Mais le reporter promet de prouver son innocence.
Au procès, Rouletabille affirme connaître le nom de l’assassin mais ne veut pas le dévoiler tout de suite. Alors, il commence à expliquer son enquête et, à six heures et demie, il dénonce Frédéric Larsan comme l’assassin. Mais celui-ci il était déjà parti. Rouletabille annonce alors, avec fierté, le vrai nom du brillant policier : Ballmeyer. C’est le fameux escroc qui n’arrête pas de fuir !
En effet, après de nombreux délits et des infractions contre la loi, celui-ci s’était rendu en Amérique où il avait été arrêté puis s’était enfuit. Il avait pris alors l’identité de Jean Roussel et avait rencontré la jeune Mathilde Stangerson qui vivait alors avec son père en Amérique. Ils étaient tombés amoureux l’un de l’autre, mais le père s’était opposé au mariage et avait envoyé sa fille dans l’Ohio. Mais Jean l’avait rejoint et ils avaient décidé de se marier au plus vite. Mais un matin, la police vint arrêter Jean et apprit à Mathilde qu’il n’était autre que le bandit Ballmeyer. Elle revint auprès de son père sans rien lui dire de l’histoire. Lorsqu’elle apprit la mort de Ballmeyer, elle pensa pouvoir se remarier, mais Ballmeyer était encore vivant. Il la revit et lui interdit de se remarier car il l’aimait encore. La jeune femme raconta tout à Robert Darzac qui voulait malgré tout la demander en mariage. Ballmeyer, ayant pris l’identité de F. Larsan, lui donna rendez-vous et de là résulta la tentative d’assassinat de la chambre jaune. L’épisode se renouvela. Mais Ballmeyer, qui était en possession des travaux de monsieur Stangerson, lui promit que si elle se dérobait encore, il brûlerait les précieux dossiers de son père. Ballmeyer faisait également chanter Darzac pour qu’il renonce à Mathilde.
C’est ainsi que Ballmeyer sous le nom de F. Larsan, le commissaire, décida d’accuser Darzac. Mais heureusement Rouletabille était arrivé à temps pour démêler les fils de l’intrigue. Ballmeyer, qui savait d’ailleurs que le jeune reporter avait découvert la vérité, essayait de se sauver. Par ailleurs, la première tentative de meurtre n’était qu’un simple accident : Mathilde s’étant blessée en se levant précipitamment suite à un cauchemar.
Lewis
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Une fois dans la « chambre jaune », ils découvrent Mathilde, à moitié morte, allongée sur le sol et pleine de sang. Le criminel a filé. Pourtant, la porte est prise d’assaut par quatre personnes et l’unique fenêtre grillagée de la pièce est verrouillée avec ses volets clos qu’on ne peut fermer que de l’intérieur. Aucune fuite n’est possible ! Renseigné, le jeune Rouletabille (surnom qu’on lui a collé à cause de sa tête ronde), reporter au journal L'Époque, décide de se rendre sur le lieu du crime, accompagné de son ami l’avocat Sainclair, afin de retrouver la trace du malfaiteur et d’élucider le mystère.
Sur les lieux du crime, ils retrouvent la police qui mène l’enquête à l’aide du redoutable commissaire Frédéric Larsan, revenu exprès d’Espagne pour cette affaire. Pour celui-ci, l’affaire ne fait guère de doute, l’agresseur de Mathilde Stangerson ne peut être que son fiancé, Robert Darzac. Mais Rouletabille, avec son esprit déductif raisonnant par le « bon bout de la raison », s’oppose à l’avis de M. Larsan et se lance dans sa propre enquête…
Au fil de l’enquête, Rouletabille découvre que le meurtre n’était pas le seul motif de l’assassin : les travaux scientifiques de M.Stangerson ont disparu. Par ailleurs, Rouletabille remarque que le comportement du commissaire est étrange. Il utilise depuis quelques jours une canne qui lui aurait été offerte à Londres. En examinant la canne, le reporter remarque qu’elle provient de Paris. Mais ce serait un homme ressemblant à Robert Darzac qui serait venu l’acheter. Tout semble accuser Robert Darzac !
D’autres indices semblent mener sur la piste de R. Darzac, mais lorsque l’on tente à nouveau d’assassiner Melle Stangerson, le garde appelé « l’homme vert » est tué par M. Bernier le concierge. Mais on découvre que l’homme était déjà blessé avant qu’on lui tire dessus. On pense que c’est lui le meurtrier, mais Rouletabille prouve qu’il ne l’est pas. Le mystère reste complet. R. Darzac est tout de même arrêté malgré le fait qu’il était absent le jour même du crime. Mais le reporter promet de prouver son innocence.
Au procès, Rouletabille affirme connaître le nom de l’assassin mais ne veut pas le dévoiler tout de suite. Alors, il commence à expliquer son enquête et, à six heures et demie, il dénonce Frédéric Larsan comme l’assassin. Mais celui-ci il était déjà parti. Rouletabille annonce alors, avec fierté, le vrai nom du brillant policier : Ballmeyer. C’est le fameux escroc qui n’arrête pas de fuir !
En effet, après de nombreux délits et des infractions contre la loi, celui-ci s’était rendu en Amérique où il avait été arrêté puis s’était enfuit. Il avait pris alors l’identité de Jean Roussel et avait rencontré la jeune Mathilde Stangerson qui vivait alors avec son père en Amérique. Ils étaient tombés amoureux l’un de l’autre, mais le père s’était opposé au mariage et avait envoyé sa fille dans l’Ohio. Mais Jean l’avait rejoint et ils avaient décidé de se marier au plus vite. Mais un matin, la police vint arrêter Jean et apprit à Mathilde qu’il n’était autre que le bandit Ballmeyer. Elle revint auprès de son père sans rien lui dire de l’histoire. Lorsqu’elle apprit la mort de Ballmeyer, elle pensa pouvoir se remarier, mais Ballmeyer était encore vivant. Il la revit et lui interdit de se remarier car il l’aimait encore. La jeune femme raconta tout à Robert Darzac qui voulait malgré tout la demander en mariage. Ballmeyer, ayant pris l’identité de F. Larsan, lui donna rendez-vous et de là résulta la tentative d’assassinat de la chambre jaune. L’épisode se renouvela. Mais Ballmeyer, qui était en possession des travaux de monsieur Stangerson, lui promit que si elle se dérobait encore, il brûlerait les précieux dossiers de son père. Ballmeyer faisait également chanter Darzac pour qu’il renonce à Mathilde.
C’est ainsi que Ballmeyer sous le nom de F. Larsan, le commissaire, décida d’accuser Darzac. Mais heureusement Rouletabille était arrivé à temps pour démêler les fils de l’intrigue. Ballmeyer, qui savait d’ailleurs que le jeune reporter avait découvert la vérité, essayait de se sauver. Par ailleurs, la première tentative de meurtre n’était qu’un simple accident : Mathilde s’étant blessée en se levant précipitamment suite à un cauchemar.
Lewis
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4 commentaires:
Quelle est la signification du mot "spooky" dans votre idiolecte ?
Malheureusement, la plupart du texte est emprunté deci delà :
http://www.serieslitteraires.org/publication/article.php3?id_article=616
http://www.ecoles.cfwb.be/arizel/Robin/Fiches2005/page19.htm
Déception.
super résumé! même avis que caro coin coin: ca donne envie de relire le livre! en fait, je ne pense pas le relire, plutôt revoirle film.
Good job!!
whats up everyone
just signed up and wanted to say hello while I read through the posts
hopefully this is just what im looking for looks like i have a lot to read.
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