Composition et partis pris de la mise en scène
Dans ce texte nous tenterons d’analyser la composition de l’adaptation cinématographique du roman policier Le Mystère de la chambre jaune parallèlement aux partis pris du metteur en scène.
L’histoire se déroule en 1892, dans le château du Glandier. Le metteur en scène nous fait vivre l’histoire à travers les yeux de Sinclair, le confident de Rouletabille. L’action commence dans le train allant vers le château du Glandier. Dans la première scène du film l’enquêteur Rouletabille et son confident Sinclair font la connaissance du juge d’instruction, M. de Marquet, et de son greffier. Cette scène est une scène d’exposition qui nous présente la personnalité de chaque personnage qui se révèlera plus tard dans l’histoire. Rouletabille, le héros de l’histoire, est un enquêteur, sûr de lui-même, prêt à persévérer pour arriver au bout de l’enquête. Sinclair est discret et à l’écoute de son ami. Alors que le juge d’instruction, M. Marquet, est un personnage passionné d’art dramatique, prêt à succomber au mystère de la chambre jaune sans le résoudre. Pareil pour son greffier M. Maleine.
La deuxième scène se déroule au château du Glandier. C’est là que Rouletabille et Sinclair rencontrent M. Robert Darzac, fiancé de Melle Stangerson. Le metteur en scène donne une grande importance à ce personnage mystérieux et inquiet à la fois. Il ne donne pas tous les éléments nécessaires pour faire connaître sa personnalité. A la surprise du spectateur Rouletabille prononce une phrase qui produit un effet sur M. Darzac, effet qui laise le spectateur dans son ignorance. Le metteur en scène fait apparaître Rouletabille comme une personne d’intelligence supérieure avec des connaissances très poussées pour son âge.
Arrivé sur le lieu de l’enquête Rouletabille rencontre le célèbre policier Frédéric Larsan, homme qui inspire le mystère et la sagesse. C’est la première et la dernière fois que Rouletabille, fier de lui-même, aura un tel sentiment pour quelqu’un.
Grâce au père Jacques, le domestique de la maison, Rouletabille pénètre dans la chambre jaune, lieu de la tentative d’assassinat de Melle Stangerson. Le spectateur éprouve ici un sentiment de suspense. Il est toujours surpris par le comportement de Rouletabille qui s’intéresse aux détails les moins importants, comme par exemple un cheveu blond, maculé de sang.
Le metteur en scène, par la suite, décrit la façon dont ce brillant policier, Frédéric Larsan, traite le mystère. Il met en valeur l’opposition créée entre Frédéric Larsan et Rouletabille sur l’identité du coupable. C’est une scène très importante qui montre le décalage entre l’opinion de Rouletabille et de Frédéric Larsan.
Vient enfin la première scène où Rouletabille a un suspect. Le suspect est le garde de la maison, le mystérieux «homme vert». Le spectateur s’identifie à Sinclair et se pose des questions comme s’il était lui-même dans le film.
Pour la première fois on a une explication pour la sortie de l’assassin de la chambre jaune, restée jusque là un mystère, puisque la chambre était fermée et verrouillée de l’intérieur et de l’extérieur. Larsan est convaincu que M. Stangerson a laissé l’assassin s’échapper à cause d’un secret affreux entre ce dernier et les Stangerson. Frédéric Larsan est convaincu que toutes les preuves mènent à l’accusation de M. Robert Darzac. Le metteur en scène montre l’obstination incompréhensible de M. Larsan à propos de la culpabilité de Darzac.
Suite à plusieurs événements produits, exemple « la galerie inexplicable » et le meurtre du garde, Rouletabille décide de partir en Amérique pour récupérer des éléments important qui méneront à la solution du mystère.
Et enfin nous arrivons à la dernière scène du film, la résolution du mystère. Suivant R l’assassin est…Frédéric Larsan, dont la vraie identité est l’escroc Ballemeyer. Cette révélation produit un effet de surprise et de sidération, non seulement aux personnages du film, mais aussi et surtout aux spectateurs. Derrière le crime se cachait la passion amoureuse de Frédéric Larsan pour Melle Stangerson. Celui-ci espérait regagner son amour en accusant Robert Darzac, son rival. Le metteur en scène met en valeur le caractère à double facette de Frédéric Larsan, qui surprend les spectateurs.
Rouletabille fait part à Sinclair de sa découverte en Amérique du secret de Melle Strangerson. Celle-ci a eu un enfant de Frédéric Larsan.
Tout le long du film le spectateur est incité à réfléchir pour reconstituer l’histoire. C’est une œuvre cinématographique qui interroge le spectateur.
Dans ce texte nous tenterons d’analyser la composition de l’adaptation cinématographique du roman policier Le Mystère de la chambre jaune parallèlement aux partis pris du metteur en scène.
L’histoire se déroule en 1892, dans le château du Glandier. Le metteur en scène nous fait vivre l’histoire à travers les yeux de Sinclair, le confident de Rouletabille. L’action commence dans le train allant vers le château du Glandier. Dans la première scène du film l’enquêteur Rouletabille et son confident Sinclair font la connaissance du juge d’instruction, M. de Marquet, et de son greffier. Cette scène est une scène d’exposition qui nous présente la personnalité de chaque personnage qui se révèlera plus tard dans l’histoire. Rouletabille, le héros de l’histoire, est un enquêteur, sûr de lui-même, prêt à persévérer pour arriver au bout de l’enquête. Sinclair est discret et à l’écoute de son ami. Alors que le juge d’instruction, M. Marquet, est un personnage passionné d’art dramatique, prêt à succomber au mystère de la chambre jaune sans le résoudre. Pareil pour son greffier M. Maleine.
La deuxième scène se déroule au château du Glandier. C’est là que Rouletabille et Sinclair rencontrent M. Robert Darzac, fiancé de Melle Stangerson. Le metteur en scène donne une grande importance à ce personnage mystérieux et inquiet à la fois. Il ne donne pas tous les éléments nécessaires pour faire connaître sa personnalité. A la surprise du spectateur Rouletabille prononce une phrase qui produit un effet sur M. Darzac, effet qui laise le spectateur dans son ignorance. Le metteur en scène fait apparaître Rouletabille comme une personne d’intelligence supérieure avec des connaissances très poussées pour son âge.
Arrivé sur le lieu de l’enquête Rouletabille rencontre le célèbre policier Frédéric Larsan, homme qui inspire le mystère et la sagesse. C’est la première et la dernière fois que Rouletabille, fier de lui-même, aura un tel sentiment pour quelqu’un.
Grâce au père Jacques, le domestique de la maison, Rouletabille pénètre dans la chambre jaune, lieu de la tentative d’assassinat de Melle Stangerson. Le spectateur éprouve ici un sentiment de suspense. Il est toujours surpris par le comportement de Rouletabille qui s’intéresse aux détails les moins importants, comme par exemple un cheveu blond, maculé de sang.
Le metteur en scène, par la suite, décrit la façon dont ce brillant policier, Frédéric Larsan, traite le mystère. Il met en valeur l’opposition créée entre Frédéric Larsan et Rouletabille sur l’identité du coupable. C’est une scène très importante qui montre le décalage entre l’opinion de Rouletabille et de Frédéric Larsan.
Vient enfin la première scène où Rouletabille a un suspect. Le suspect est le garde de la maison, le mystérieux «homme vert». Le spectateur s’identifie à Sinclair et se pose des questions comme s’il était lui-même dans le film.
Pour la première fois on a une explication pour la sortie de l’assassin de la chambre jaune, restée jusque là un mystère, puisque la chambre était fermée et verrouillée de l’intérieur et de l’extérieur. Larsan est convaincu que M. Stangerson a laissé l’assassin s’échapper à cause d’un secret affreux entre ce dernier et les Stangerson. Frédéric Larsan est convaincu que toutes les preuves mènent à l’accusation de M. Robert Darzac. Le metteur en scène montre l’obstination incompréhensible de M. Larsan à propos de la culpabilité de Darzac.
Suite à plusieurs événements produits, exemple « la galerie inexplicable » et le meurtre du garde, Rouletabille décide de partir en Amérique pour récupérer des éléments important qui méneront à la solution du mystère.
Et enfin nous arrivons à la dernière scène du film, la résolution du mystère. Suivant R l’assassin est…Frédéric Larsan, dont la vraie identité est l’escroc Ballemeyer. Cette révélation produit un effet de surprise et de sidération, non seulement aux personnages du film, mais aussi et surtout aux spectateurs. Derrière le crime se cachait la passion amoureuse de Frédéric Larsan pour Melle Stangerson. Celui-ci espérait regagner son amour en accusant Robert Darzac, son rival. Le metteur en scène met en valeur le caractère à double facette de Frédéric Larsan, qui surprend les spectateurs.
Rouletabille fait part à Sinclair de sa découverte en Amérique du secret de Melle Strangerson. Celle-ci a eu un enfant de Frédéric Larsan.
Tout le long du film le spectateur est incité à réfléchir pour reconstituer l’histoire. C’est une œuvre cinématographique qui interroge le spectateur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire