Il était une fois, un groupe de quatre jeunes adolescents nommés Allergico, caro coincoin, Lewis et Clio, qui, lors d'une promenade, virent une vieille maison abandonnée. Ils décidèrent donc d'aller l'explorer.
Arrivés au seuil de la grinçante porte en bois de chêne, deux des valeureux aventuriers refusèrent d'y entrer ! Mais l'extrême Allergico à la poussière s'y aventura avec la frémissante Lewis, quand même décidée à y aller.
Le hall d'entrée était sombre, la poussière s'engouffrait dans les voies respiratoires, l'ambiance était insuportable, l'atmosphère insoutenable. À première vue, la maison ne semblait pas habitée, les meubles étaient recouverts par des linceuls blancs jaunis par le temps. Nous décidâmes de découvrir la salle à manger. La vieille table en teck était rongée par les termites, une colonie de fourmies allait et venait chercher les restes dans un frigidaire dégarni. Une odeur pestilentielle d'ailleurs s'en échappait.
La porte d'une autre pièce était entrouverte. Celle-ci était étrangement plus lumineuse, on aurait presque dit que quelqu'un était là. Précautionneusement, je poussai la porte ; à ma grande surprise, c'était une bibliothèque apparemment saccagée. Absolument tous les livres gisaient sur le sol, déchirés, écartelés, décomposés. Tous étaient étalés sauf un : un seul, plutôt en bon état. Pourquoi est-ce le seul en bon état, et pourquoi n'est-il pas à même le sol ruisselant de livres?
Effrayé et curieux à la fois, je m'approchai du fameux livre avec à mes cotés ma camarade. Il avait été écrit par un certain Gaston Leroux, et s'intitulait le Mystère de la chambre jaune. Je le pris dans mes mains et commençai à le feuilleter. Des notes étaient inscrites au crayon à papier sur la bordure du texte. Je passai à présent plusieurs pages lorsque Lewis m'interrompit. Elle me fit remarquer qu'un mot écrit et entouré en rouge était inscrit sur l'une des dix dernières pages du premier chapitre : POURQUOI?
Cette question nous intriguait. Je me permis de glisser le bouquin dans le sac que j'avais emporté. Puis, lorsque nous nous retournâmes afin d'annoncer la découverte à nos deux collègues restées dehors, nous vîmes quelque chose d'effroyable, Lewis était blanche comme neige. À mon tour, je pâlis. Un homme pendu était derrière la porte !
Son corps inerte tenait par le bout d'une corde accrochée à son coup, le visage blême, le regard livide, lavé de toute expression, ses bras pendants, nous laissait sans voix. Je ne voyais plus que cet homme, j'étais attiré par lui, je voulais comprendre, savoir ce qu'il s'était passé, ce qui avait provoqué sa mort abominable et si soudaine.
Nous nous pressâmes de sortir de cette lugubre maison qui sentait la mort. À notre retour, les filles bondirent pour nous demander ce que nous y avions vu, mais elles comprirent que quelque chose n'allait pas, que notre comportement n'était plus le même. Même si elles nous harcelaient de questions, nous restions sans voix, nous ne pouvions prononcer aucun mot sur ce que nous avions découvert à l'intérieur, pour le moment.
Arrivés au seuil de la grinçante porte en bois de chêne, deux des valeureux aventuriers refusèrent d'y entrer ! Mais l'extrême Allergico à la poussière s'y aventura avec la frémissante Lewis, quand même décidée à y aller.
Le hall d'entrée était sombre, la poussière s'engouffrait dans les voies respiratoires, l'ambiance était insuportable, l'atmosphère insoutenable. À première vue, la maison ne semblait pas habitée, les meubles étaient recouverts par des linceuls blancs jaunis par le temps. Nous décidâmes de découvrir la salle à manger. La vieille table en teck était rongée par les termites, une colonie de fourmies allait et venait chercher les restes dans un frigidaire dégarni. Une odeur pestilentielle d'ailleurs s'en échappait.
La porte d'une autre pièce était entrouverte. Celle-ci était étrangement plus lumineuse, on aurait presque dit que quelqu'un était là. Précautionneusement, je poussai la porte ; à ma grande surprise, c'était une bibliothèque apparemment saccagée. Absolument tous les livres gisaient sur le sol, déchirés, écartelés, décomposés. Tous étaient étalés sauf un : un seul, plutôt en bon état. Pourquoi est-ce le seul en bon état, et pourquoi n'est-il pas à même le sol ruisselant de livres?
Effrayé et curieux à la fois, je m'approchai du fameux livre avec à mes cotés ma camarade. Il avait été écrit par un certain Gaston Leroux, et s'intitulait le Mystère de la chambre jaune. Je le pris dans mes mains et commençai à le feuilleter. Des notes étaient inscrites au crayon à papier sur la bordure du texte. Je passai à présent plusieurs pages lorsque Lewis m'interrompit. Elle me fit remarquer qu'un mot écrit et entouré en rouge était inscrit sur l'une des dix dernières pages du premier chapitre : POURQUOI?
Cette question nous intriguait. Je me permis de glisser le bouquin dans le sac que j'avais emporté. Puis, lorsque nous nous retournâmes afin d'annoncer la découverte à nos deux collègues restées dehors, nous vîmes quelque chose d'effroyable, Lewis était blanche comme neige. À mon tour, je pâlis. Un homme pendu était derrière la porte !
Son corps inerte tenait par le bout d'une corde accrochée à son coup, le visage blême, le regard livide, lavé de toute expression, ses bras pendants, nous laissait sans voix. Je ne voyais plus que cet homme, j'étais attiré par lui, je voulais comprendre, savoir ce qu'il s'était passé, ce qui avait provoqué sa mort abominable et si soudaine.
Nous nous pressâmes de sortir de cette lugubre maison qui sentait la mort. À notre retour, les filles bondirent pour nous demander ce que nous y avions vu, mais elles comprirent que quelque chose n'allait pas, que notre comportement n'était plus le même. Même si elles nous harcelaient de questions, nous restions sans voix, nous ne pouvions prononcer aucun mot sur ce que nous avions découvert à l'intérieur, pour le moment.
FIN de la Ière Partie